« Mes voisins de palier étaient les fondateurs du GIGN et j’ai retenu que quand on est otage, on ne peut pas être négociateur »
Quand vous avez redressé des entreprises comme Doux, Mooveango (Vélib…) les pianos Pleyel, etc… dirigé plus de 40 sociétés et instruit 250 dossiers… vous êtes sûrement un homme précis et rigoureux.
Mais dans son livre « Partout où je passe, les même erreurs » et dans ce déclic, ce qui transparait, c’est la place essentielle de l’humain.
Salarié, patron, actionnaire, il replace tout le temps les hommes au centre de son attention et il parle à tous. « Il n’y a pas de de changement sans acteur du changement » et toute son attention se porte sur l’apport de chacun au redressement. Il nous parle de son enfance bercée par le GIGN, son goût de plonger dans des dossiers chauds, spéciaux, qui lui donne cette appétence pour comprendre très vite dans des situations, les clés d’une situation de crise.
Nous parlons aussi du déni de la crise qui empêche d’en sortir, de la recherche de la bonne information pour prendre les bonnes décisions, du dialogue avec les « grandes gueules ».
Une des phrases clés « il faut écouter tout le monde mais ne croire personne » … que je mets en parallèle de « sans transparence, on ne peut rien faire ! ».
Bonne écoute ! 🙂